lundi 31 août 2020

L'indice cyclique (2020-2022)


L'Astrologue André Barbault (1921-2019) avait mis en évidence voici bien des décennies l'importance des concentrations planétaires. Celles-ci sont en effet rares et sont généralement liées à des moments historiques.

Afin d'obtenir une lecture plus aisée de cette concentration planétaires, les astrologues ont mis au point la méthode de l'indice cyclique. Pour le calculer, il convient d'ajouter l'ensemble des angles formés entre les planètes. Traditionnellement, on prend en considération les angles entre Jupiter, Saturne, Uranus, Neptune et Pluton afin d'avoir une bonne vision d'ensemble. Il est bien-sûr possible de rajouter les autres planètes rapides.
Plus il y a de conjonctions planétaires et de concentration planétaires, plus les angles formés sont petits et donc plus l'indice cyclique est faible, ce qui marque selon la tradition astrologique un moment charnière qui s'exprime par de nombreuses tensions et difficultés au niveau international.
A contrario, si les écarts entre les planètes sont grands, l'indice cyclique sera donc élevé ce qui signifie des situations beaucoup plus calmes.

La triple conjonction planétaire actuelle (Jupiter, Saturne, Pluton) participe donc à faire chuter cet indice cyclique qui évolue depuis début 2020 aux alentours de 500, ce qui est réellement bas (par exemple en juin 2017, il était à 900).

Comme le montre le graphique ci-dessous, la dégringolade de l'indice cyclique se fait avec le commencement de la crise du Covid-19. Il repart à la hausse à partir de mai-juin 2020 lors du déconfinement des Etats, mais va replonger à partir d'octobre-novembre 2020 pour atteindre un seuil particulièrement faible en février-mars 2021. Les choses vont temporairement se rétablir durant l'été 2021.
Mais une forte chute aura lieu de septembre à mars-avril 2022.
Enfin, à partir de mai 2022, une véritable hausse de l'indice cycle viendra certainement arranger la situation.

En résumé, en se basant sur l'indice cyclique, nous ne sommes qu'au début des difficultés, celles-ci s’aggravant jusqu'en avril 2022.



Voyons maintenant plus précisément les choses.

A ces concentrations planétaires (JU-SA-UR-NE-PL) caractérisées par un indice cyclique faible, il est bien-sûr possible d'ajouter la position des planètes rapides (Soleil, Mercure, Vénus et Mars). On peut ainsi constater que  :

 

 - en mars-avril 2020, l'ensemble des planètes se sont retrouvées concentrées sur seulement 120° du ciel.

 
 
 
 
 - en janvier-févier 2021, elles le seront sur 115° du ciel

 


- en avril 2022, elles le seront (sans Uranus) sur 75° du ciel !!! (et avec Uranus à 105°) 


 

 Alors que va-t-il se passer ? Pour cela? ilconvient de se reporter aux cycles planétaires actifs lors de ces périodes. Nos futurs articles tenteront d'y répondre et d'éclairer nos lecteurs.

Bonne rentrée à tous !